The Daily Telegraph revient sur une année mouvementée avec la publication d’un dessin humoristique, décliné sous la forme d’un puzzle mille pièces. Au lecteur d’identifier les événements marquants et les personnalités mêlées dans ce joyeux chaos de l’année 2020.

Dans l’esprit facétieux du Daily Telegraph, 2020 ressemble à une gigantesque patinoire. Le quotidien britannique revient avec humour sur une année “différente de ce à quoi tout le monde s’attendait”, avec un dessin décliné en puzzle mille pièces conçu par Patrick Blower, dans la tradition du célèbre jeu Où est Charlie ? Entre une référence au mouvement Black Lives Matter et une cohorte de personnels soignants, soixante-quatre personnalités se sont dissimulées sur l’image.
On y voit notamment, en vrac, le président américain Donald Trump chevaucher l’oiseau bleu de Twitter, le dirigeant nord-coréen Kim Jong-un jubiler sur son missile géant, le président russe Vladimir Poutine torse nu sur un ours, un vaccin douteux à la main, ou encore le président chinois Xi Jinping, transformé en drone de surveillance à tête humaine, le visage caché par un masque orné d’une chauve-souris.
Les conséquences de la pandémie de Covid-19 sont évidemment omniprésentes. On reconnaît les files d’attente à un mètre de distance devant les devantures des magasins, les séances de gymnastique en intérieur popularisées par les confinements ou les visioconférences entrées dans les mœurs à cause de la généralisation du télétravail.À LIRE AUSSIOPINION. 2020, PIRE ANNÉE DE L’HISTOIRE ? VRAIMENT ?
Si vous avez l’œil britannique, vous y verrez aussi de nombreuses références so British : les déboires du Parti travailliste de Jeremy Corbyn, le départ du prince Harry et de sa femme Meghan pour le Canada, les démêlés du Premier ministre britannique Boris Johnson avec les membres de l’Union européenne à propos du Brexit, les célébrations des supporters de Liverpool, vainqueur de la Premier League, ou celles des vétérans de l’armée britannique, soixante-quinze ans après la victoire des Alliés sur l’Allemagne nazie. Et saluant tout ce joli monde, là-haut, depuis sa tour, l’immortel couple royal, uni depuis soixante-treize ans.
Source : Courrier International
Lire l’article original : The Telegraph